"L'heure est grave", dixit Me Halidou Ouédraogo
Le tristement célèbre régiment de sécurité présidentielle est-il décidé à mettre du sable dans le couscous de la transition burkinabè ? Le 4 février, cette garde prétorienne de l’ancien président Blaise Compaoré a empêché la tenue de l’hebdomadaire conseil des ministres au palais de Kosyam et exigé la démission du Premier ministre Isaac Zida. Pour les organisations de la société civile, c’est une menace contre les institutions de la transition et la démocratie burkinabè. Elles appellent à de grandes manifestations le samedi 7 février sur toute l’étendue du territoire pour rappeler le RSP à l’ordre et exiger la dissolution de ce régiment qui disent-elles, est plus nuisible qu’utile.
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